4e de couverture L'action se déroule de nos jours à Paris. Cal Kaplan a trente-cinq ans. Il est avocat de formation et travaille comme conseiller du président d'un groupe. Son rôle consiste à se charger des "sales besognes": négocier les départs de cadres "trop chers", couvrir les "magouilles" du PDG, ce genre-là. A côté, il tente d'écrire pour le cinéma! Un jour, il rencontre un producteur, via un ami écrivain, pour parler d'un de ses scénarios. Mais, celui-ci trouve qu'il n'est pas assez vendeur, pas assez "hard" et il propose d'en faire un "porno soft". Cal refuse la proposition, mais le destin va en décider autrement. Alors qu'il est en train de monter un dossier dans une affaire de responsabilité pénale sur le naufrage d'un bateau, il est licencié sans indemnités. Sans ressources du jour au lendemain, cal se voit contraint d'accepter la proposition du producteur de réécrire son scénario en y ajoutant des scènes "hot". Dans le même temps, il rencontre Julia pour qui il éprouve, pour la première fois, de véritables sentiments. Mais, très épris d'elle, il n'ose lui raconter la situation de peur de la perdre. Entre Julia ou la célébrité, l'argent, les apparences, qui choisira Cal ? Mon avis Avant tout je souhaite remercier l'auteur, Stéphan Pélissier qui m'a fait confiance en me donnant l'opportunité de découvrir son premier roman "Paris-Baltimore", dont la version papier sera disponible en septembre prochain. En attendant, son roman est disponible en format numérique ICI Qu'est ce qu'un bon roman sans personnages ? Ici, pas besoin de plusieurs protagonistes pour rentrer dans l'histoire. Tout se focalise sur Cal, personnage qu'on ne peut s'empêcher de détester dès les premières pages. Imbu, sur de lui, arrogant, il a tout pour déplaire, jusqu'à son métier. Mais sa vie va basculer petit à petit, rythmée par des catastrophes qui s’enchaînent à la vitesse de la lumière. Il va accumuler les coups durs ce qui va avoir pour conséquence une humanisation du personnage au fil des chapitres. Une évolution qui va le rendre presque attachant alors qu'il se retrouve face aux difficultés de la vie. On a tous déjà vécu une période où rien ne va, où chaque jour apporte son lot de problèmes. C'est ainsi que l'on s'attache à Cal en comprenant et en partageant ce qu'il peut ressentir face à sa situation. Le roman est parfaitement construit, divisé en plusieurs courts chapitres bien définis. L'auteur nous offre ainsi une lecture des plus agréables. Les pages défilent sans s'en apercevoir. Preuve est que j'ai lu ce roman en une seule fois tellement le style utilisé est fluide. L'intrigue principale est entrecoupée par des extraits du scénario que Cal écrit pour une sitcom. Un rythme est donné au récit où l'ennui n'a pas sa place. Derrière l'histoire de Cal, Stéphan Pélissier nous offre une subtile satyre de notre société de consommation et de la place de chacun dans le monde du travail. "Paris-Baltimore" et donc à aborder en double lecture pour l'apprécier en son intégralité. Une lecture qui peut ainsi toucher un large public. Un premier roman très prometteur pour Stéphan Pélissier. Une écriture fluide, simple, organisée mais pas formatée. J'ai pris beaucoup de plaisir à suivre l'histoire de Cal. Un roman détente mais pas vide de sens que je conseille à qui veut passer un bon moment. Un auteur à suivre avec un roman qui ne risque pas de passer inaperçu.
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Une chronique spéciale que je vous propose aujourd'hui au sujet de ce roman car elle va regrouper non pas un seul mais deux avis différents. En effet, j'ai invité Sandra du groupe Read... et de la page "Les lectures de Sandra" à venir publier sa chronique aux côtés de la mienne pour "La Chambre d'Hannah". 4e de couverture Paris, février 1992. Pierre Descarrières, 11 ans, est malheureux coincé entre une vie terne et des parents qui se déchirent quotidiennement. Seul dans sa chambre, il rêve d'un frère ou d'une soeur qui viendrait rompre sa solitude. Paris, février 1942. Hannah Klezmer, 11 ans, étouffe dans l'espace confiné de son appartement, mise à l'écart parce qu'elle est juive. Leurs routes n'auraient jamais dû se croiser. Et pourtant, c'est arrivé. car il existe entre eux un lien plus fort que le temps et la folie des hommes. Si La Chambre d'Hannah plonge ses racines dans l'Histoire la plus sombre, c'est aussi le roman sensible et lumineux d'une amitié entre deux enfants qui n'ont, au premier abord, rien en commun: ni leur condition, ni leur époque. Avec, en filigrane, ceux deux questions essentielles: jusqu'où aller par amitié ? Sommes-nous prêts à croire l'impossible ? L'avis de Sandra J'aurai dû attendre le salon du livre de Limoges début avril pour acheter le livre de Stéphane Bellat mais je n'ai pas eu la patience d'attendre ! En effet, trop d'échos positifs sur ce livre m'ont intriguée et j'ai voulu le lire au plus vite ! Grand bien m'en a pris: je suis tombée sur un véritable bijou !!! Dès les premières pages j'ai fait la connaissance de Pierre, un petit garçon de 11 ans à la vie déjà bien difficile, perdu au milieu de parents qui n'ont de cesse de se déchirer. Son seul refuge devient très vite sa chambre et l'idée noire d'une délivrance par la mort s'affiche vite à lui comme la seule solution d'échapper à son enfer quotidien. Puis arrive Hannah, petite fille juive de 11 ans elle aussi mais qui vit 50 ans plus tôt, en 1942, au beau milieu de cette guerre durant laquelle être juif signifiait ne plus être une personne... Comment deux enfants que 50 ans séparent pourraient-ils se rencontrer ? Tout simplement grâce à la magie de la plume d'un auteur qui sait poser des mots magnifiques sur la détresse de l'enfance, de ces deux enfances si différentes et pourtant si proches. Ce livre devient alors très vite une histoire d'amitié à la fois très forte et improbable. Bien plus qu'une belle histoire, presque un conte, c'est aussi un témoignage poignant d'une époque que personne ne souhaite voir revenir. Pierre et Hannah m'ont transportée, bouleversée, émue au delà de tout ce que j'aurais pu imaginer. J'ai tremblé, pleuré et sourit avec eux, pour eux, grâce à eux. Jamais autant d'émotions n'ont été présentes pour moi au cours d'une lecture et pour cela je souhaite les remercier, eux, ces enfants magiques, et à travers eux Stéphane Bellat pour cette magnifique histoire. Tout le long de ma lecture j'ai eu la chance de dialoguer avec lui et ce dialogue, quelque part toujours un peu privilégié quand il s'agit d'un échange entre un auteur et un lecteur, a donné une toute autre dimension à ce livre. "La chambre d'Hannah" n'était plus seulement un lieu magique rempli de tendresse, cette chambre est devenue le miroir parfait d'une histoire, notre histoire, avec ses drames et ses passions, lorsque j'ai su que rien n'avait été laissé au hasard, que tout était basé sur des faits réels ! Et c'est ce qui fait la force de ce livre ! Il est bien au delà d'une magnifique histoire !!! "On est mort le jour où l'on cesse de croire en soi". Eh bien en sortant de ce livre je vous garantis que l'on est bien vivant et on en ressort plus riche, bouleversé mais heureux ! N'attendez plus: lire "La chambre d'Hannah" est à mon sens d'utilité publique ! Et ce faisant vous pourrez peut être répondre à la question de la couverture, celle que l'on se pose tous un jour ou l'autre dans la vie, "Et si nous pouvions changer le passé ?" Mon avis Une histoire d'amitié entre deux enfants de 11 ans. L'un vit en 1992 alors que l'autre en 1942, en pleine Seconde Guerre Mondiale. Impossible me direz-vous ? Et bien dans ce roman, si. Pierre et Hannah, malgré les cinquante ans qui les séparent, sont amis. Juive, elle a besoin de s'évader de son quotidien fait de peurs. Elle va donc apparaître dans la chambre de Pierre, qui lui désire plus que tout une amie. Stéphane Bellat nous propose un roman plein d'émotions. Cette amitié physiquement impossible, il nous y donne tout de même accès grâce à une utilisation subtile du fantastique qui ne dérange en rien l'impact que la lecture produit sur le lecteur. Thème bien difficile à traiter que la guerre. Beaucoup d'auteurs sont rapidement tombés dans le récit historique, à la limite du cours d'histoire. Ici on est loin de ce constat. "La Chambre d'Hannah", tout en nous apprenant plusieurs points sur l'histoire de cette guerre, reste bel et bien un roman. Il est extrêmement intéressant, mais surtout émouvant, de découvrir cette partie de l'histoire par le biais d'une jeune fille juive. Même si Hannah n'est pas le personnage narrateur, le roman est parfaitement construit pour que le lecteur appréhende d'une manière naturelle plusieurs points de vue. L'amitié "surnaturelle" qui lie Hannah et Pierre représente la colonne vertébrale de ce roman. Mais quelques autres petites intrigues viennent se greffer à celle centrale; ce qui a pour résultat que le lecteur ne trouve pas un chapitre pour s'ennuyer lors de sa lecture. "La Chambre d'Hannah" est un réel coup de maître pour son auteur Stéphane Bellat. Dans une société où l'on prône l'importance du devoir de mémoire, ce roman devrait être mis entre toutes les mains et dans tous les collèges. Une histoire fabuleuse, un ras de marée d'émotions et une belle leçon de vie: voici les ingrédients qui vont la qualité de ce roman. 4e de couverture Simon, neuf ans, vit avec son père Paul, écrivain, et sa mère Carole, une femme d'affaire qui passe sa vie en Australie. Le jour où Paul est hospitalisé pour dépression, Simon voit son quotidien bouleversé. Recueilli par Lola, sa grand-mère fantastique, il rencontre aussi l'évanescente Lily, enfant autiste aux yeux violets. A travers les songes qu'il s'invente, Simon va tâcher de mettre des mots sur la maladie de son père et de trouver les repères dans cet univers dont le sens lui résiste. Mon avis Tout d'abord je tiens sincèrement à remercier l'auteur, Gilles Paris, pour sa gentillesse et son rapport, très proche, qu'il entretient avec ses lecteurs. Une nouvelle fois, ce roman nous plonge dans la tête d'un garçon de neuf ans pour qui le quotidien qu'il a toujours connu va changer subitement. Il vit pour ainsi dire seul avec son père, sa mère passant une grande majorité de son temps au pays des kangourous pour son travail. Mais un jour tout change: son père devient triste et un matin il le retrouve enfermé dans le lave vaisselle. Pour Simon, ce jour signe la fin d'une partie de son enfance. Si il veut appréhender concrètement ce qui se passe pour son père, il n'a pas le choix, il doit grandir plus vite que prévu. La dépression a été le sujet de plusieurs romans. Mais ici, l'auteur nous propose une toute autre approche de cette maladie: comment un enfant vit la dépression de l'un de ses parents ? Et vraiment c'est extrêmement touchant, triste et violent de découvrir les pensées de ce jeune garçon face à l'état puis à l'absence de son père. On ne peut pas rester insensible à Simon, à sa manière d'aborder les choses, à ses réactions, à ses interrogations, ... La maladie de Paul va rimer pour Simon avec le début d'une toute nouvelle vie chez son extravagante grand-mère Lola, pleine de rencontres et d'aventures. Gilles Paris nous offre ici un roman puissant et saisissant sur un sujet difficilement abordable. L'exercice est compliqué mais réussi à la perfection. J'ai eu une boule au ventre à la lecture de ce roman dont la fin m'a tiré une petite larme. Un livre que je vous conseille vivement, plein de belles émotions. Merci à Margot qui m'a offert ce roman, quelques temps déjà que je souhaitais découvrir cet auteur, elle m'en a donné l'occasion. 4e de couverture Du haut de ses neuf ans, Victor a quelques certitudes: c'est parce que François, son père, n'ouvre pas son courrier qui s'amoncelle dans un placard que ses parents ne vivent plus ensemble; c'est parce Claire et Pilar adorent regarder des mélos tout en mangeant du pop-corn qu'elles sont heureuses ensemble. Et c'est parce que les adultes n'aiment pas descendre les poubelles au local peint en vert qu'il a rencontré son meilleur ami Gaspard. Les vacances au Cap-Martin, cet été-là, seront pour Victor et son copain Gaspard l'occasion de partir à l'aventure sur l'étroit chemin des douaniers qui surplombe la côté. En guidant les garçons jusqu'aux passages secrets menant aux somptueuses villas, papillons, baronne et jumeaux feront bien plus que leur ouvrir la porte des jardins enchantés. un voyage au pays de l'enfance qui déborde d'émotion et de tendresse. Mon avis Qui n'a jamais rêvé d'avoir à nouveau 9 ans? Cet âge où l'insouciance n'a pas encore laissé place aux divers tracas et soucis d'une vie d'adolescent puis d'adulte, où tous les rêves sont encore permis. Grâce à son dernier roman, "L'été des lucioles", Gilles Paris nous offre la possibilité, le temps de 220 pages, de replonger dans le doux univers de l'enfance. Un été. Voilà le temps qu'il nous est accordé dans la peau de Victor Beauregard, vivant à Bourg-en-Bresse, en vacances à Cap-Martin avec ses deux mamans, sans son papa qui ne veut pas grandir, et sa sœur Alicia. Il retrouve comme tous les ans son ami Gaspard. Son été, il va le partager avec nous. Malgré ses 9 ans, il se pose beaucoup de questions sur ce qui l'entoure. Mais après cet été tout va changer... Ces quelques semaines vont le faire grandir, mûrir, en apportant dans sa vie un peu de magie, des belles rencontres et son lot d'aventures. Avec ce roman, Gilles Paris nous permet réellement de déconnecter avec le monde qui nous entoure. On oublie tout, on ne pense à rien et on se laisse porter par la quiétude de ces vacances, sous un soleil de plomb, allongé sur la plage. Un brin de magie, éclairé par les lucioles et les zèbres sans pattes ni tête, fini par nous absorber complètement. L'atmosphère est telle qu'on se sent bien dans ce livre. Un idéal de bonheur et de plénitude. En refermant le livre, on est l'impression d'être parti en vacances. Un roman dont le personnage et le narrateur est un enfant peut vite devenir compliqué pour l’intérêt d'un public adulte. Gilles Paris réussi l'exercice à la perfection avec "L'été des lucioles" qui m'a captivé du début à la fin. Un coup de coeur pour ce roman qui me donne envie de découvrir les autres parutions de cet auteur. Je me rallie à la masse populaire des adeptes de l'auteur. 4e de couverture Damien Starl est un riche homme d'affaires, d'une rare séduction. tout ce qu'il veut, il l'obtient. et ce qu'il veut par dessus tout, c'est Nikki. Quand il lui fait une proposition qu'elle ne peut refuser - poser nue pour un tableau en échange d'un million de dollars -, la jeune femme est terriblement troublée. Elle ne comprend pas l'étrange attirance que cet homme exerce sur elle. Elle ignore aussi qu'il la soutient à son insu depuis des années et que cette offre n'est pas un hasard. Elle voulait fuir, mais elle accepte...en espérant qu'elle ne perdra pas son âme dans ce marché. Car le simple frôlement de Damien la consume et ses yeux semblent cacher de sombres desseins. Mon avis J'ai gagné ce roman il y a maintenant quelques temps sur le blog de ma petite binômette: la seule et l'unique Sookies. Voici d'ailleurs sa chronique sur ce roman: CHRONIQUE Ce gain a donc été pour moi l'occasion de découvrir le début de cette trilogie, sans quoi je pense que je ne l'aurais jamais lu. En effet, c'est bien loin de mes lectures habituelles, et dans le même genre je m'étais cantonné à la trilogie 50 Nuances de Grey. Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ce roman, sa lecture est très fluide, les chapitres défilent relativement rapidement. On ne voit pas passer les 450 pages qui le constituent. Mais j'ai vraiment été dérangé par la liste interminable de points communs avec Grey. Même si l'histoire de fond est quelque peu différente de celle de E.L James, c'est incroyable le nombres de scènes que l'on retrouve chez Julie Kenner. J'ai très (trop) souvent eu l'impression de lire une réécriture de Grey. Ca m'a vraiment dérangé. J'ai trouvé que l'histoire démarrait très vite, dès le premier chapitre, mais ensuite c'est extrêmement long durant les 200 pages suivantes où on se rend compte qu'il ne se passe rien d'important pour l'intrigue. J'ai été tenté plusieurs fois de sauter un paragraphe en sachant pertinemment que cela n'aurait aucune influence sur ma compréhension de l'avancée de l'intrigue. Cette trilogie est annoncée comme "érotique, dans la veine de la série Cinquante Nuances de Grey". Probablement un problème d'interprétation de ma part, mais je ne retrouve rien d'érotique dans ce roman. Les scènes de sexe, toutes semblables soit dit en passant, sont relatées très vulgairement dans le roman. Le vocabulaire employé est obligatoire cru, l'auteure aurait décrit l'accouplement d'un taureau et d'une vache que ça aurait été plus poétique. J'avais dit qu'en ce qui concerne le genre "érotique, momy porn" j'en resterais à Grey. L'opportunité s'est présentée donc j'ai découvert autre chose mais je sais qu'à présent j'en ai fini avec ce genre. Je ne lirai donc pas la suite de cette série. Les filles sont partout dans ce romans. Elles mènent la danse. De New York à Paris, de la Bourgogne à Londres ou à Miami. Des filles qui inventent, 'enflamment, aiment. Des filles qui se battent pour la vie. Et les hommes? Ils sont là aussi. Mais ce sont les Muchachas qui dansent, dansent, dansent. Elles font voler les destins en éclats. Et ça n'en finit pas! Dès que j'ai vu que Katherine Pancol sortait une nouvelle trilogie, je me suis empressé de me procurer le tome 1, sans réellement savoir de quoi il allait traiter. Vous me direz la 4e de couverture ne nous renseigne que vaguement sur le thème du roman. Pas de surprises sur le fait qu'il sera centré sur des femmes mais le reste, le suspense reste entier.
Avant tout, je dois dire que j'adore le packaging. Cette couverture fluo, les dessins d'enfants, les couleurs différentes pour les lettres, pour le résumé... Je trouve le tout très attrayant et attirant surtout. D'autant plus qu'on sait déjà que les tomes 2 et 3 seront de même style, seule la couleur générale changera. Cette série rendra très bien une fois rangée dans ma bibliothèque. C'est certes très futile mais on s'accorde tous sur l'esthétique d'une bibliothèque. Pour cette nouvelle trilogie à l'accent féminin, Katherine Pancol nous propose de voyager au quatre coins de la planète à la rencontre de femmes et de leur destin. Chacune mène son combat contre la vie, se bat pour ses rêves, ses projets, son avenir. Selon les personnages les espoirs varient d'un rêve de gloire à une simple survie pour la famille. Un balayage social avec des modes de vie opposés mais qui se rejoignent dans la volonté et l'espoir de faire avancer les choses. Ses femmes ne sont pas seules en apparence, elles ont un mari pour certaines, une famille pour d'autres... mais la solitude est omniprésente. Incomprises, mal-aimées, tristes, rêveuses, ambitieuses, fortes...elles le sont, ce qui les rend toutes tellement attachantes, même la plus vaniteuse d'entre elles finit par nous dévoiler un côté sensible. A travers les portraits de ces femmes, Katherine Pancol nous peint une fresque de notre société avec ses bons et mauvais côtés. L'axe est mis sur la place des femmes dans le monde entier. Sans en faire un roman moralisateur, l'auteure arrive à faire réfléchir sur le monde actuel. On ne peut pas savoir ce qui se cache derrière le sourire d'une femme. Voilà qui résume le premier tome de cette série. Un vrai coup de cœur pour cette lecture très agréable. J'ai eu un peu peur pendant les cinquante premières pages que se soit trop lent mais au final on rentre dans chaque histoire et on s'attache petit à petit à chaque personnage. Il me tarde avril pour lire la suite de "Muchachas". J'ai réalisé cette lecture en lecture commune avec Margot du blog Margot'sReadings. Comme vous pourrez le lire, elle ne partage pas du tout mon avis sur ce roman. Voici sa chronique: http://margotreadings.weebly.com/18/post/2014/03/muchachasdekatherine-pancol.html |
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