4e de couverture

Paris à la Toussaint. Le capitaine Mehrlicht, les lieutenants Dossantos et Latour sont appelés à l'hôpital Saint-Antoine : un patient vient d'y  être empoisonné. Le lendemain, c'est une famille entière qui est  retrouvée sans vie dans un appartement des Champs-Élysées. Puis un  couple de retraités à Courbevoie... Tandis que les cadavres bleutés  s'empilent, la France prend peur : celle qu'on surnomme bientôt  l'Empoisonneuse est à l'oeuvre et semble au hasard décimer des familles  aux quatre coins de France depuis plus de quarante ans. Les médias  s'enflamment alors que la police tarde à arrêter la coupable et à  fournir des réponses : qui est cette jeune femme d'une trentaine  d'années que de nombreux témoins ont croisée ? Comment peut-elle tuer  depuis quarante ans et en paraître trente ? Surtout, qui parmi nous sera sa prochaine victime ? Dans la tornade médiatique et la vindicte populaire, chacun reconnaît la tueuse : elle est une voisine, une soeur, une ex, et la chasse aux sorcières s'organise. Mais derrière  l'Empoisonneuse, c'est la Mort elle-même qui est à l'oeuvre, patiente et inexorable : nul ne lui échappera.

Mon avis

Rien de mieux pour ne pas laisser un livre trop longtemps dans sa PAL que les lectures communes du groupe READ. Ainsi, 2 semaines après achat, "Le Jour des Morts" est déjà lu. Elle est pas belle la vie.

Ce roman est le premier de l'auteur pour moi et il m'a immédiatement frappé par la complexité de son intrigue. Le début du roman plonge le lecteur dans le flou le plus total quant aux liaisons que peuvent unir les différents personnages et les différentes situations. Le but de l'auteur n'est pas clair immédiatement, ce qui intrigue fortement dans la lecture et qui donne envie de pousser un peu plus pour en savoir toujtours plus. Mais l'auteur nous réserve des surprises dans son roman et certaines questions initiales ne trouvent leurs réponses que dans les dernières pages. De quoi rendre le lecteur complétement accro entre temps. Malin.

Une fois la petite histoire mise en place commence l'enquête profonde menée par une équipe de choc. Tous les personnages de cette équipe sont à tour de rôle le personnage principal et j'ai trouvé l'aspect très agréable. Ils ont tous une histoire, un rôle et un caractère particulier qui nous est donné de découvrir au fil des pages. Plus ou moins attachants, le lecteur prend tout de même beaucoup de plaisir à en apprendre plus à leurs sujets. Un réel travail a été réalisé sur les personnages, aspect particulièrement appréciable.

Mais le travail de l'auteur ne s'est pas contenté qu'aux personnages. En fait, il ressort de ce roman une véritable réalité quant au fonctionnement interne d'un commissariat et d'une enquête. Sans être un documentaire, le lecteur apprend énormément de choses à la lecture de ce roman. Rien de plus énervant que de découvrir des non-sens en lecture !! Dans le cas présent, cet aspect donne une réelle plus value à l'histoire.

L'enquête à laquelle nous avons la chance d'assister est vraiment d'une complexité passionnante. Plus on avance dans l'histoire et plus nous sommes perdus. Impossible d'imaginer le dénouement de l'affaire. L'incompréhension est totale, aussi bien du côté lecteurs que personnages. L'effet "bookturner" se fait vite ressentir et nous tient en haleine jusqu'à la fin. Pourtant, 378 pages, ce n'est pas rien, mais le défi du suspense est relevé en entier. Bravo !!!

Un livre dont j'avais entendu beaucoup de bien. Mon avis vient s'ajouter à la longue liste d'éloges qui se promènent sur internet. Je vous le conseille, bien évidement. Vous en ressortirez les yeux grands ouverts (tout comme la bouche) de surprise et d'étonnement.

4e de couverture

"Au premier regard je la trouvai si jeune que je la pris pour un garçon de quinze ans"

Mon avis

Mon bonheur annuel de la fin août est l'attente puis la dégustation du nouveau roman d'Amélie Nothomb. Heureuse surprise que de voir débarquer un livreur le jour de sa sortie, venant m'apporter un exemplaire gentiment offert par Margot, que je remercie une nouvelle fois.

J'étais déjà conquis par le simple fait de savoir que 2014 serait sous le signe de la fiction. Mais une fiction aux teintes d'autobiographie. C'est innovant et particulièrement appréciable pour moi.

Une amitié nait et évolue sous nos yeux entre une Amélie Nothomb plus vraie que réelle et Pétronille, une lectrice/auteure. Un lien d'amitié fort, teinté d'or et pétillant à souhait: le champagne.

Une fois n'est pas coutume, les plus grands crus de Champagne sont présents dans ce roman. Ils représentent un nouveau personnage de choix, le fil conducteur de l'intrigue de la première à la dernière page. Rien que cet élément permet d'expliquer pourquoi j'aime autant l'auteure. Arriver à personnifier l'impersonnifiable, d'autant plus en tant que place centrale du roman, relève pour moi d'un génie littéraire que je prend plaisir à découvrir dans chacunes de ses parutions

La relation Amélie / Pétronille est particulièrement ambigüe. Entre amitié, concurrence et amour le fossé est tellement fin que le lecteur ne sait plus quoi penser tellement c'est décousu. Il est tellement peu question de sentiments que tout est envisageable. Mais savent-elles elles mêmes de quoi leur relation est faîte ? Libre cours à notre imagination. Mais c'est fascinant de les découvrir s'apprivoiser mutuellement, tels le Petit Prince et le Renard.

Amélie Nothomb sait toujours nous surprendre au fil des années. Parfaitement à l'aise dans des confessions privées les plus intimes en 2013 dans "La Nostalgie Heureuse", elle nous prouve cette année qu'elle sait se mettre en scène dans une fiction. J'ai vraiment adoré cette biographie / fiction. On pourrait y voir un fantasme jamais assouvi et transposé dans le fictif ! Mais je ne suis pas partisan de cette interprétation. Pourquoi chercher à comprendre alors que le meilleur c'est quand même de se plonger dans le roman, d'en absorber les émotions, tout ce que l'auteure à voulu nous transmettre avec sa plume. J'ai vécu l'expérience "Pétronille" de cette manière, en plongée totale jusqu'à la fin et c'était juste parfait. Divertissant à souhait.

Je ne sais pas ce qu'il en sera pour le champagne, mais 2014 est un excellent cru pour Amélie Nothomb. Je pense le relire rapidement pour découvrir les petits aspects et citations non repérés lors de la première lecture précipitée et dans un état d'excitation relativement élevé.

Je ne cesserai de le crier haut et fort, lisez du Nothomb. Au moins un . . .

4e de couverture

Hazel est malade. Gravement. Augustus est en rémission. Elle a 16 ans,  lui 17.
Dès leur rencontre, en groupe de soutien, il est charmé par son  originalité, elle est séduite tout court. Ils ont le même humour, le  même regard sans concession et leur complicité est immédiate. C'est le  début d'une magnifique histoire d'amour et d'amitié...

Mon avis

Alors qu'il y a des mois que je souhaitais découvrir le phénomène "Nos Etoiles Contraires", le rapprochement de la sortie au cinéma de son adaptation m'a permis de vite me motiver pour enfin le lire. Mon binôme ayant créer un groupe de lecture/relecture du roman au mois d'août, je n'avais aucune excuse de ne pas m'y plonger.

Une belle histoire d'amitié/amour nait sous nos yeux entre Hazel et Augustus, deux jeunes adultes à la vie déjà bien compliquée puisqu'elle est atteinte d'un cancer et que lui est en rémission. Voilà l'intrigue principale de ce roman.

"Nos Etoiles Contraires" est souvent présenté comme un roman pour les adolescents et les jeunes adultes mais sa lecture ne m'a du tout donné cette impression de littérature au rabais. L'écriture est adaptée à tous les publics et, pour avoir eu des retours de la part de lecteurs, j'affirme qu'un adulte ne s'ennuiera pas avec ce roman.

L'auteur nous permet de découvrir à travers cette fiction le quotidien de ces jeunes gens qui sont atteints très tôt de lourdes maladies. Le message important qui ressort de ces 216 pages est qu'avant d'être des malades, ils sont des adolescents normaux avec les mêmes envies que ceux du même âge. Je pense que l'auteur souhaite changer le regard ou l'idée que l'on se fait de ces personnes en nous obligeant à porter sur eux un regard "normal", sans immédiatement les prendre en pitié. Même si ils ont moins de chance de vieillir, ils souhaitent juste être abordés avec la même simplicité que leurs pairs.

Ce roman contient beaucoup de gaieté, on a souvent le sourire lors de la découverte de cette histoire d'amour qui se développe lentement sous nos yeux, de ses adolescents maladroitement attachants dans la découverte de la vie d'adulte. Malgré les traitements et les contraintes médicales du quotidien, que l'on oublie facilement dans le roman, ils vivent heureux, savourant les instants qui leurs sont offerts. Le lecteur prend un grand recul par rapport aux façons dont il aborde sa propre vie.

Tous ceux qui l'ont déjà lu seront d'accord avec moi pour dire qu'on se prend un terrible claque à la fin du roman. Les 5 derniers chapitres sont terriblement tristes. L'auteur a su appuyer là où ça fait mal. Pour ma part j'ai eu une grosse boule qui a eu un mal fou à disparaître, même lorsque j'avais terminé ma lecture. Il faut vraiment faire un effort sur soit pour se dire que ce n'est que de la fiction.

"Nos Etoiles Contraires" est une vraie belle découverte pour moi. Lorsqu'un roman est beaucoup apprécié, j'ai toujours peur d'être déçu à sa lecture mais ça n'a pas du tout été le cas. Il me tarde à présent de voir le film même si je sais qu'il risque de bien m'émouvoir, même si je connais la fin.

4e de couverture

Edimbourg, 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Mi-sorcière mi-chaman, la sage-femme qui aide à. l'accouchement parvient à sauver le nourrisson en remplaçant le cœur défectueux par une horloge. Cette prothèse fonctionne et Jack vivra, à condition d'éviter toute charge émotionnelle : pas de colère donc, et surtout, surtout, pas d'état amoureux.
Mais le regard de braise d'une petite chanteuse de rue mettra le cœur de fortune de notre héros à rude épreuve prêt à toit pour la retrouver, Jack se lance tel Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais jusqu'aux arcades de Grenade et lui fera connaître les délices de l'amour comme sa cruauté. Conte désuéto-moderne mâtiné de western-spaghetti, La Mécanique du
Cœur vibre d'une rugueuse force poétique où l'humour est toujours présent. 

Mon avis

"La Mécanique du Cœur" est la lecture piochée dans ma PAL par mon binôme Mathieu pour août et, comme le hasard fait bien les choses, je l'avais prévu en LC avec Marie de Ma Petite Librairie. 

Chose que je ne fais jamais, exception qui confirme la règle, j'étais aller voir l'adaptation de ce roman, Jack et la Mécanique du Cœur, dès sa sortie. Du coup, bien avant de lire le roman dont il est inspiré. J'avais été fasciné par la qualité des images, l'histoire mais aussi cette magnifique bande son (je suis un grand adepte d'Olivia Ruiz). J'avais donc envie de découvrir le roman, même si en temps normal je préfère lire avant de voir. 

Né le jour le plus froid, le coeur de Jack a été remplacé par une horloge. Sa vie est rythmée par des règles dont l'une est de ne pas tomber amoureux, bien vite oubliée lorsqu'il rencontre Miss Acacia et qu'il décide de parcourir l'Europe afin de la retrouver. 

Après être surpris par l'originalité de cette histoire, le lecteur est tout de suite conquis par la plume poétique de Mathias Malzieu. Ce roman fait rêver de part ces descriptions magnifiques et une ambiance colorée. Les personnages qui peuplent cette histoire sont tous particuliers et attachants à leur manière. Hauts en couleur ils apportent chacun leur tour un soupçon de poésie dans la vie de Jack.
L'auteur nous fait voyager, nous déconnecte complètement de monde qui nous entoure pour nous emmener rêver. 

A travers ce roman, bon nombre de valeurs sont mises en avant et donnent un sens plus profond à ce qui pourrait sembler n'être qu'un conte pour enfants. 
Avec le personnage de Jack et son cœur d'horloge, on nous parle de tolérance envers ceux qui ne sont pas comme nous. 
L'amour et la jalousie, la trahison, la confiance en soit... les thèmes abordés sont nombreux dans ce roman. J'ai pris beaucoup de plaisir à les découvrir. Je pense vraiment qu'ils donnent un intérêt particulier à ce roman, qui le place "au dessus" des autres contes. 

J'ai vraiment regretté d'avoir été voir son adaptation cinématographique car je n'avais pas le plaisir de la découverte de l'histoire. D'autant plus que le film d'animation est vraiment fidèle au roman. 

Pour conclure j'ai passé un agréable moment de lecture. Un peu de légèreté et de poésie sont toujours appréciables entre deux thrillers sanglants. Je pense que je vais m'intéresser aux autres romans de l'auteur. 


 

4e de couverture
Au début des années 70, Sébastien, 7 ans, vit seul avec sa mère et sa sœur adolescente, Valérie. Leur mère arrive tant bien que mal à joindre les deux bouts, malgré ses deux emplois qui lui prennent tout son temps et toute son énergie. Une dispute de trop avec sa fille qui dégénère, et c’est le drame familial. Valérie survivra à ses blessures mais la police ne croit pas à la version de la mère accusant son petit garçon d'avoir blessé sa soeur. La mère prendra 5 ans de prison. Des années plus tard, et grâce à ses parents adoptifs, Sébastien mène une vie « normale », alors que sa sœur vit dans un institut spécialisé et que sa mère n’est jamais reparue après sa sortie de prison. Sébastien est devenu un père et un médecin exemplaires. Jusqu'à de mystérieux décès d’enfants parmi ses patients et avec eux, le retour funeste des voix du passé...

Mon avis

"Fais-le pour Maman" signe la première Lecture Commune réalisée avec mon binôme Mathieu du blog Enjoy Books. Vous trouverez le lien de sa chronique en toute fin d'article.

Il y a certains livres qui nous tentent incroyablement dès leur sortie. La couverture, des bons avis. . . les raisons sont multiples mais on veut absolument lire ce roman. C'était mon cas pour "Fais-le pour maman". C'est donc dans un état d'esprit enjoué que j'ai attaqué cette lecture.

La première chose frappante dans ce thriller est l'ambiance particulière que l'auteur instaure immédiatement. Un malaise ambiant est présent, le lecteur est plongé dans l'histoire, sachant pertinemment que l'intrigue va être complexe et pleine de rebondissements. J'ai été conquis quasiment dès les premières pages.
 
Le roman est construit avec de courts chapitres qui alternent les points de vue mais aussi entre passé et présent. Les informations capitales du passé ne sont dévoilées que par morceaux, laissant le lecteur dans un suspense très prenant. On ne s'ennuie pas un seul instant dans cette lecture. Le plus difficile étant de poser le livre. Les rebondissements et actions s'enchaînent à un rythme effréné. On va de surprises en découvertes, je suis souvent resté bouche bée à la fin de chapitres.

L'auteur a fait un travail remarquable sur la psychologique de ses personnages principaux. Ils sont tous d'une complexité prodigieuse justifiée par de lourds passés. Ils donnent une dimension vraiment angoissante, et intrigante à la fois, au thriller. J'ai trouvé certains passages dérangeant, à propos des personnages, mais il n'y a rien de tel pour éveiller la curiosité. On comprend que chaque mot est pesé pour une efficacité détonante.

"Fais-le pour Maman" est vraiment le genre de thriller psychologique que j'apprécie. Il y a une réelle complexité dans l'intrigue qui pousse le lecteur à réfléchir, à envisager plusieurs explications (qui sont souvent loin de la réalité). Alors qu'on croit avancer dans les explications, un nouvel élément arrive, remettant tout en cause dans notre esprit. Selon moi, ça relève du génie d'arriver à mener ainsi ses lecteurs en bateau, de les désorienter complétement dans leur lecture. Prodigieux.

Je peux le crier haut et fort, "Fais-le pour Maman" est un réel, un énorme coup de cœur 2014. Mon seul regret est de ne pas l'avoir lu plus tôt. J'ai vraiment été pris au jeu que l'auteur met en place et, à aucun moment, je n'aurais imaginé une telle fin. Un thriller très addictif que je ne peux que conseiller aux amateurs du genre. Un grand bravo à l'auteur. Et vivement sa prochaine parution.

Vous pouvez découvrir la chronique de Mathieu par ici:
http://enjoybooksaddict.blogspot.fr/2014/08/chronique-fais-le-pour-maman-de.html

4e de couverture
Diane a brusquement perdu son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l'exception de son coeur, qui continue de battre.
Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l'existence. Afin d'échapper à son entourage qui l'enjoint à reprendre pied, elle décide de s'exiler en Irlande, seule.

Mais, à fuir avec acharnement la vie, elle finit par vous rattraper...

Mon avis
Après avoir lu et adoré "Entre mes mains le bonheur se faufile", je voulais absolument découvrir le premier roman de cette auteure.

Tout commence avec violence dans ce roman. Dès le premier chapitre le lecteur est confronté à une vague d'émotions insupportable. J'ai pris une vraie claque. C'est bouleversant. Découvrir cette mère de famille qui perd son mari et sa fille simultanément est vraiment déchirant. La plume de l'auteure appuie sur la corde sensible pour un effet immédiat.

Le roman nous fait découvrir la reconstruction de cette mère dévastée. Et c'est à partir de là que j'ai ressenti un réel malaise face à cette histoire.

Je n'ai jamais été confronté à la perte d'une personne si proche que peut l'être un compagnon ou un enfant. Je ne peux donc pas savoir le sentiment éprouvé face à une telle épreuve. C'est peut-être la raison pour laquelle j'ai été exaspéré par l'apitoiement de Diane sur elle même. Malgré le temps et les personnes qui l'entourent et la soutiennent, elle reste enfermée sur elle-même, froide et agressive. 
Du coup je suis resté concentré sur cet aspect de sa personnalité jusqu'à la fin du roman, n'appréciant pas l'intrigue. 

J'ai été aussi déçu par le peu de découverte que l'on fait de l'Irlande dans ce roman. Lorsque j'ai vu que Diane s'y exilait, je pensais retrouver les paysages qui m'ont tant fait rêver lors de mon voyage dans ce pays mais j'ai vite compris qu'il n'en serait rien. Elle aurait bien pu se trouver à La Rochelle que ça n'aurait rien changé. 

Bref, je ne vous cache ma déception face à ce roman. J'ai bien fait de le lire après "Entre mes mains le bonheur se faufile" car sinon je n'aurais pas eu l'envie de découvrir son second roman. 
Mais je sais que l'auteure peut nous surprendre, je compte bien lire ses prochains romans.