4e de couverture
Lettres d'amour d'un assassin... « Ma chère Jeanne, J'aimerais que vous m'aimiez comme je vous aime. Mais, pour m'aimer, il vous faut me connaître. Savoir ce que je suis... Certains diront un monstre. D'autres chercheront des explications lointaines, surgies de mon passé. Beaucoup jugeront, condamneront. Mais qui comprendra vraiment ? Vous, je l'espère. Hier soir, j'étais avec une autre femme que vous. Mais je ne suis pas resté longtemps avec elle. Juste le temps de la tuer... » Mon avis J'ai découvert Karine Giebel il n'y a que très peu de temps avec ses derniers romans. Une plume percutante qui me plait. Lorsque j'ai eu l'occasion de découvrir ses débuts d'auteure avec la réédition de "Terminus Elicius", j'ai immédiatement saisi l'occasion. On découvre immédiatement le personnage très tourmenté de Jeanne. Pour se rendre à son travail dans un commissariat de Marseille, elle doit prendre le train chaque jour. Une vie pleine de rituels qui font qu'elle choisit tous les jours la même place dans le train. Element essentiel pour son admirateur secret qui va pouvoir lui glisser sous ce siège des lettres douces. En parallèle, l'intigue nous plonge dans une enquête des plus sordides à la recherche d'un meurtrier aux pratiques barbares. Ces deux histoires ne semblent pas avoir de lien entre elles, en apparence... J'ai vraiment beaucoup aimé l'idée originale de cette histoire. Les éléments s'imbriquent rapidement les uns aux autres, le lecteur est vite plongé dans l'intrigue. Peut-être un petit peu trop rapidement pour le coup car une fois les bases installées j'ai eu un sentiment de flottement dans l'action. Les chapitres deviennent rapidement répétitifs et manquent de rebondissements. L'intrigue stagne quasiment. J'ai eu un moment d'ennui au milieu de cette lecture. Cependant, quand la fin approche, l'intrigue reprend son élan du début et nous réserve quelques surprises que j'ai beaucoup apprécié. Je me suis laissé avoir par certains aspects de l'histoire auxquels je ne m'attendais pas le moins du monde, alors que d'autres étaient évidents. Dans l'ensemble j'ai passé un bon moment de lecture avec "Terminus Elicius". Je regrette simplement le manque de rythme général du roman qui fait des montagnes russes. Quoi qu'il en soit, ce fût un réel plaisir de découvrir le début de carrière de Karine Giebel. J'espère avoir l'occasion de découvrir d'autres de ses "anciens" titres (en cherchant bien je dois en avoir quelques uns dans ma PAL, tout au fond ^^ ).
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4e de couverture
La mère de Tom est morte, et Tom a disparu. Tom, mais aussi John, Michael et Lily. À chaque fois, une mère est assassinée et son enfant enlevé, comme évanoui dans les brumes inquiétantes qui submergent si souvent la Caroline du Sud. Dahlia Rhymes, agent du FBI spécialisée dans les crimes rituels, s’impose dans l’enquête. Tom est son neveu, et même si elle ne l’a jamais vu car elle a rompu toute relation avec sa famille, elle ne peut pas l’abandonner. En retrouvant les marais et les chênes séculaires de son enfance, Dahlia retrouve aussi Nathan Miller, un ancien gamin des rues devenu un des meilleurs flics de Charleston. Ensemble, ils se lancent à la recherche des enfants, sans autre indice que le témoignage d’un voisin, qui prétend avoir vu rôder autour d’une des Maisons une shadduh, une ombre vaudoue. Et si, pour une fois, le mobile n’était ni l’argent, ni le sexe, ni la vengeance, ni même l’amour? Mon avis J'adore les romans, d'autant plus les thrillers, dans lesquels on rentre immédiatement dans l'intrigue. C'est bel et bien le cas avec "Dans les brumes du Mal" avec une immersion dans un sombre kidnapping. Un parmi tant d'autres. En suit une enquête impossible pour retrouver ces enfants disparus. Le plus gros problème pour les enquêteurs est de trouver le mobile de ces actes. Une affaire que n'a aucun précédent... du fil à retordre avant le prochain enlèvement. René Manzor a vraiment réalisé un sans faute avec ce nouveau titre: une ambiance marécageuse sombre et brumeuse qui plonge le lecteur dans son histoire, des personnages mystérieux, un passé trouble et du mystique. Et le summum de l'intrigue un dénouement imprévisible. Vraiment je me susi fait avoir par l'explication du mobile et la fin du roman. BRAVO !! Comme vous pourrez le comprendre j'ai passé un super moment de lecteur avec "Dans les brumes du mal", un beau coup de coeur de cette fin d'année. Et si vous le glissiez sous le sapin ? 4e de couverture Vous pensiez l’univers de la mode impitoyable… Découvrez la comédie (in)humaine du tennis professionnel féminin ! À 24 ans, Charlotte Silver, dite « Charlie », a tout pour elle. Dotée d’une plastique parfaite, elle figure parmi les meilleures joueuses du monde. Les médias et les fans l’adorent. Seule ombre au tableau : elle n’a jamais remporté une victoire en Grand Chelem. Lorsqu’une blessure l’oblige à abandonner Wimbledon, Charlie prend une mesure drastique. Elle renvoie sa coach de toujours et la remplace par l’entraîneur star Todd Feltner, aussi réputé pour ses mauvaises manières que pour sa redoutable efficacité. Ce pacte avec le diable propulse Charlie aux sommets des classements, comme en couverture des magazines people… Et sa relation avec le joueur « le plus sexy du monde » est une alliée de taille dans cette quête de la gloire : terre battue ou tapis rouge, Charlie Silver devient la it-girl du tennis féminin que tout le monde s’arrache. Mais entre fêtes, tromperies et compétition, la célébrité n’est pas qu’une partie de plaisir… surtout quand une éternelle rivale ne recule devant rien pour prendre le dessus. Jusqu’où Charlie sera-t-elle prête à aller pour être la meilleure ? Mon avis
Depuis ces histoires de diable qui porte des escarpins à semelles rouges, j'ai un petit faible pour la plume légère et sarcastique de Lauren Weisberger. Après la mode, l'auteure s'attaque au monde du tennis. Out les défiles, essayages et mannequins: place aux tennis, raquettes et sols en terre battue. Charlotte Silver joueuse internationale va tout faire pour atteindre le rêve de sa vie: le haut du classement. Une vie sacrifiée pour le sport, elle ne laisse plus rien au hasard pour être au sommet et cela commence par remplacer son entraineuse , et amie, de toujours par un bourreau de travail. Dès lors, la vie de Charlotte, alias, Charlie, va changer du tout au tout: nouveau lock, médiatisation, fête, ... et victoire lors des grands tournois les plus prestigieux. Mais à quel prix ? Avec ce nouveau titre l'auteure nous fait découvrir l'envers du décor d'un milieu sportif. Les sacrifices auxquels font face les joueurs professionnels pour atteindre des objectifs toujours plus hauts. Lauren Weisberger nous propose un livre aux touches moralisatrices avec beaucoup d'humour tranchant. A lire sans modération pour un vrai moment de détente. Fraicheur assurée. |
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Mai 2019
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